La vie devant soi

Les Lectures terrestres
Les Lectures terrestres
La vie devant soi
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Ce roman constitue une exception et une mystification dans l’histoire du Prix Goncourt.

Publié sous un nom d’emprunt, Émile Ajar, il fut attribué en 1975 au huitième tour de scrutin par six voix contre trois.

Madame Rosa, une vieille femme juive a ouvert « une pension sans famille pour les gosses qui sont nés de travers », autrement dit une pension clandestine où les prostituées laissent leurs rejetons pendant quelques mois pour les protéger.

Momo, jeune maghrébin timide âgé de 14 ans auquel elle a fait croire qu’il en avait 4 de moins, raconte sa vie chez madame Rosa et son amour pour la seule « mère » qui lui reste, cette ancienne prostituée proche de la mort et qu’il aime de tout son cœur. Le jeune homme accompagnera la vieille femme, cette mère courageuse et orgueilleuse, jusqu’à la fin de sa vie.

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